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Moussa M’baye, de la FECEG, trouve « dommage… »

La Fédération des entreprises culturelles et économiques de Guinée (FECEG) est l’une des faîtières de la culture guinéenne, qui a pris part à la conférence de presse organisée le lundi 5 juin par le ministère de la culture, dirigé par Alpha Soumah, ancien rappeur connu sous le sobriquet Bill de Sam.

Animé par son secrétaire général François Bourouno, il était question de faire une mise au point sur la raison qui a prévalu à la suspension des financements des projets culturels au FODAC, exposé ce qui est fait à date au département et les grands chantiers en cours.

Au sortir de cette conférence de presse, Moussa M’baye, membre du groupe Degg J Force 3 et représentant de la FECEG, s’est prêté à la question de certains médias. À en croire le binôme de Skandal, il trouve « dommage » le fait que le ministère ne communique pas sur ses propres activités.

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«Mon problème, c’est que j’entends de bonnes choses, beaucoup de nouvelles choses qui se font au ministère mais malheureusement en tant qu’opérateur culturel, en tant qu’artiste, en tant que producteur, je ne suis pas au courant de tout cela. Et c’est dommage. Donc il ne reste qu’à travers un site web, le ministère aurait pû se défendre. Aujourd’hui, nous avons un site web, nous avons fait des choses, vous avez tout sur le portail du ministère…».

Afin de remédier à tout cela, en tant qu’acteur majeur de la culture guinéenne, il propose quelques pistes de solutions.

«c’est de trouver de façon cyclique, de façon trimestrielle ou par six mois,, de faire des réunions d’informations ou en tout cas de trouver une façon de faire en sorte que les activités du ministère soient accessibles aux acteurs culturels 1; que les acteurs culturels qui disent qu’ils sont impliqués dans les travaux soient vraiment impliqués dans les travaux parce que moi, je ne pense si on cite 40% de ceux qui devraient être consultés dans ce pays, je pense que je devrais en faire partie. Parce qu’ on a de l’expérience, on est assez technicien pour pouvoir apporter quelque chose à l’évolution de la culture en Guinée. Donc, c’est pourquoi j’ai dit qu’il serait bien de nous impliquer davantage parce qu’on pourrait ensemble réfléchir sur les voies et moyens de comment développer le secteur culturel», a-t-il conclu.

 

M.S

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