La Guinée aura dans les prochains mois, une nouvelle reine de la beauté, trois ans après le sacre de Miss Mariame Touré.
Cette lumière au bout du tunnel fait suite à un appel d’offres lancé fin octobre, par le ministère de la culture, du tourisme et de l’artisanat, dans le cadre du recrutement d’une entité “sérieuse” pour une “prestation de service” comme le mentionne le communiqué.
48h après l’expiration dudit appel, place à l’ouverture des plis des différentes candidatures. Un exercice qui a réuni le secrétaire général dudit ministère, des cadres et qui était supervisé par Me Emile Sagno, huissier de justice.
Pour l’organisation du concours national de beauté Miss Guinée, il y a eu trois structures qui ont retiré le cahier de charges mais deux d’entre elles ont soumissionné. Il s’agit de KPAAF Guinée et SaKom.
A ce titre, François Bourouno, secrétaire général du ministère chargé de la culture, a rappelé le caractère objectif et impartial de la démarche : « nous nous sommes dits d’agir conformément à la vision actuelle du président de la République qui tient à donner la même chance à tous les Guinéens dans tous les secteurs possibles. Nous avons pris du temps pour d’abord élaborer le cahier de charges. Il a été suffisamment détaillé pour donner des orientations. Et je crois que les orientations définies dans ce cahier de charges montrent l’ambition que nous avons au ministère », peut-on lire dans les colonnes de Guineenews.org.
Avant l’ouverture solennelle des plis des dossiers par l’huissier de justice présent pour la circonstance, le secrétaire général du ministère de la culture, du tourisme et de l’artisanat a souligné : « On veut faire de Miss Guinée, un événement qui puisse honorer notre pays au-delà des frontières ».
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